Henri était maintenant sûr de lui, il tenait le coupable, ou plutôt la coupable.
Les preuves étaient accablantes, on ne pouvait pas les nier. Quand la femme du policier lui avait dit que son mari avait une psy, tout le puzzle c'était mit en place : le policier et lui étaient fragiles psychologiquement,la psy était la seule qui le savait, elle lui avait demandé son adresse mail... Le lendemain,Henri alla porter plainte pour harcèlement et tentative de meurtre. Il fut de nouveau introduit devant le commissaire. Mais sans attendre cette fois. Le commissaire fit comparer l’ordonnance et le message de "PMPMt@Gmail.fr" , écouta attentivement les accusations et les preuves d'Henri et ordonna que l'on arrête Paloma Maré et que le procès ait lieu dans trois jours. Peu de temps après être rentrée chez lui, Henri entendit sonner. Il alla ouvrir, c'était un journaliste. Henri lui dit qu'il ne voulait pas d'interview. Henri (qui avait emprunté un ordinateur à un ami) rechercha un avocat sur les pages jaunes.Au bout d'une heure, il n'avait trouvé aucun avocat qui lui convenait. Dépité, il passa les trois jours dans la morosité et l'impatience.
Les preuves étaient accablantes, on ne pouvait pas les nier. Quand la femme du policier lui avait dit que son mari avait une psy, tout le puzzle c'était mit en place : le policier et lui étaient fragiles psychologiquement,la psy était la seule qui le savait, elle lui avait demandé son adresse mail... Le lendemain,Henri alla porter plainte pour harcèlement et tentative de meurtre. Il fut de nouveau introduit devant le commissaire. Mais sans attendre cette fois. Le commissaire fit comparer l’ordonnance et le message de "PMPMt@Gmail.fr" , écouta attentivement les accusations et les preuves d'Henri et ordonna que l'on arrête Paloma Maré et que le procès ait lieu dans trois jours. Peu de temps après être rentrée chez lui, Henri entendit sonner. Il alla ouvrir, c'était un journaliste. Henri lui dit qu'il ne voulait pas d'interview. Henri (qui avait emprunté un ordinateur à un ami) rechercha un avocat sur les pages jaunes.Au bout d'une heure, il n'avait trouvé aucun avocat qui lui convenait. Dépité, il passa les trois jours dans la morosité et l'impatience.
Le matin du troisième jour, Henri s’habilla élégamment. A dix heures, Henri poussait la porte du tribunal, à dix heure et demi la séance commençait. Le juge lut toutes les accusations, que Paloma Maré nia les unes après les autres. Vinrent ensuite les preuves et Paloma Maré accusa Henri d'usage de faux. Elle dit n'avoir jamais vu Henri, mais l’huissier apporta au juge des chèques au nom d'Henri et son ordinateur. Elle niait toujours les accusations, mais quand Henri brandit sous son nez l’ordonnance et le message, elle céda, mais dit avoir été payée pour faire ça et que l'huissier pouvait en apporter la preuve. L'huissier en apporta la preuve en brandissant deux chèques, mais le nom de l’employeur était tellement barré,raturé qu'il était illisible. Le plus étrange était que le montant des chèques dépassait la dizaine de milliers d'euros. Une révélation traversa le cerveau d'Henri : le nom de l'employeur étant illisible, Paloma Maré ne pouvait pas retirer le montant des chèques. Il le dit au juge qui décréta que la séance recommencerait le lendemain.
Le lendemain matin, la séance recommença, mais avec la femme du policier. La question fut celle de l'"adresse inexistante"et la réponse la suivante : Paloma Maré envoyait ses mails puis détruisait la boîte mail, puis la recréait et recommençait l'opération.
Je vous laisse inventer la suite.
Le lendemain matin, la séance recommença, mais avec la femme du policier. La question fut celle de l'"adresse inexistante"et la réponse la suivante : Paloma Maré envoyait ses mails puis détruisait la boîte mail, puis la recréait et recommençait l'opération.
Je vous laisse inventer la suite.
FIN
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